Présomptueuse et intrépide,
Magnifique et resplendissante.
La Rose tient sous son égide,
Une infinité d’autres plantes.
Seule elle me laisse candide.
Avec elle une pyramide,
D’épines fines mais tranchantes,
Pour combattre le régicide.
Mais sa vraie nature, timide,
Chez elle est la plus séduisante.
Ses pétales de néréide,
Délicats et fragiles me hantent.
Seule elle me laisse stupide.