Là où tu vois le doute je vois le discernement.
Devant le chaos l’ordre est inexistant.
Conscient de ces infernaux tourments,
Sur cette terre j’agonise lentement.
Esseulé devant cette situation je me maîtrise,
Pendant que ces forces environnantes me détruisent.
Face à ces supplices je ne suis qu’unité,
L’amour ne peut de ces souffrances me soulager.
C’est en Nous que nous devons supprimer,
Les malheurs que l’on ne cesse d’abhorrer.
Ce passé n’est que le reflet de nos pensées.
La cause de toute chose est depuis toujours celée,
Moi-même ne connais ma raison d’exister.
Elle m’infligera Ça pendant l’éternité.